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LogoISTLes revues prédatrices

 

 

Quelques indices collectés pour repérer les prédateurs :

 

  • Invitation à publier envoyée par mail au chercheur (spam) parfois par une adresse mail de contact non professionnelle (de type gmail par exemple). Ces mails sur la qualité des recherches sont « trop » flatteurs ou insistants.
  • Les frais de traitement d'article ne sont pas transparents et ont parfois un coût très bas (par exemple 150 USD).
  • Le nom de la revue n’est pas en accord avec son contenu.
  • Aucun rédacteur en chef n’est mentionné.
  • L'éditeur possède un vaste catalogue de revues en ligne qui sont inaccessibles, non fonctionnelles, ne contenant pas ou peu d'articles publiés, et/étant manifestement de mauvaise qualité.
  • Le journal fait de fausses déclarations d'être indexé par des bases de données telles que SCOPUS, Web of Science et PubMed Central.
  • La revue prétend faussement être membre de l'Association d'édition savante d'Open Access (OASPA) ou du comité d'éthique de publication (COPE).
  • Le comité éditorial n’est pas originaire de la discipline en question.
  • Le processus d'examen par les pairs n'est pas clairement décrit et la revue réclame des délais d'exécution par les pairs irréalistes (par exemple : 1 semaine).

 

En savoir plus  :

Le projet collaboratif Stop Predatory Journals recense une liste des revues et éditeurs prédateurs potentiels.

Les listes des revues présentes dans les bases de données sont disponibles sur leurs sites web : Scopus et Web of Science

Liste des revues reconnues par le HCERES

Liste des éditeurs adhérents au code de conduite de l'Open Access Scholarly Publishers Association.